samedi 9 janvier 2010

Eco-companies

According to the definition given by the Organization for Economic Co-operation and Development, the eco-industries are “all activities that produce goods or services that are designed to measure, prevent, limit or correct damages caused to the environment and concerning water, air or ground, and the problems in relation to wastes, noise and eco-systems”.
An eco-technology can at the origins of a goods or a service corresponding to market rules. The company that produces them is called an eco-company and their activities are classified in three main groups.
Pollution management.
This group includes curative activities like waste management, waste water management, combating air and noise pollution, control over ecosystems, limitation, measuring and correcting pollutions, as well as research, engineering and counseling, design and production of industrial equipments, etc.

The least polluting techniques and products
These are all the activities which continuously improve, reduce or eliminate the general technologies impact on the environment. Eco-design is the discipline that illustrates these technologies.

Resource management (mainly water resources)
This group concerns renewable energies.

Activities from the first category utilize mainly external curative eco-technologies. The second one makes use of preventive eco-technologies. And the third one can use either of the above mentioned eco-technologies.

Statistics on the subject take into account primarily companies which use eco-technologies in order to manage pollution and resources. Integrated preventive eco-technologies are more easily found listed in the respective industrial sector’s statistics, for example, car , buildings, chemistry, etc.

Source: http://www.industrie.gouv.fr/portail/secteurs/ecoentr.html

L’industrie et le développement durable. Historique de l’enjeu économique et écologique

En 2005 en France le Ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie (aujourd’hui le Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi) considère le développement durable partie intégrante du développement économique du pays. Ceci laisse entendre l’obligation des entreprises à être respectueuses de l’environnement et soucieuses de progrès social.

Cette logique peut être retrouvée aussi dans les objectifs de la politique énergétique française qui sont : la protection de l’environnement (la lutte contre le changement climatique), la sécurité d’approvisionnement et l’offre d’énergie à prix compétitif.
Le ministère s’engage à accompagner les entreprises pour qu’elles adoptent et appliquent leur responsabilité sociale et environnementale. Ceci est l’objectif principal de la Direction générale des Entreprises (DGE) qui de son coté a ensuite confié à l'AFNOR (Association française de Normalisation) la mission de définir des instruments de référence, en particulier auprès des PMI, afin d’aider à leurs démarches.

L'Italie et le Développement Durable


Dans un monde qui devient de plus en plus soucieux de l'environnement immédiat et futur, il y a toujours des acteurs qui sont un peu à l'écart ou tout simplement un peu en retard par rapport aux tendances et aux préoccupations communs. Apparemment l'Italie en fait partie. Dans l'article « L'Europa si muova sostenibile » paru le 16 septembre 2009, dans le journal italien Terra, on peut trouver l'illustration de cet argument. Selon le journal la grand partie des investissements fait en Italie en 2008, soit 84 pour cent, ont été consacré au réseau autoroutier, un stricte minimum de 10,57 % au réseau ferroviaire et seulement 5,53% à celui métropolitain.

En revanche une collection cartographique proposée par la Repubblica sur son site web www.rebupplica.it et intitulée « Comuni sostenibili, le mappe » démontre que les communes italiennes sont de plus en plus impliquées dans la cause environnementale mais ce sont des changements qui prennent du temps à s’imposer. A ce titre les autorités interviennent pour imposer un pourcentage minimum de conversion vers les sources d’énergie renouvelables. Par exemple, l’utilisation de l’énergie solaire (photovoltaïque et thermique) est fait obligation dans sur la moitié du territoire italienne et la diffusion de l’énergie photovoltaïque correspond à cette cartographie, tandis que l’obligation concernant l’énergie solaire thermique couvre un nombre de communes, régions et provinces mais la diffusion du solaire thermique ne suit pas le même modèle.

Appart les installations photovoltaïques et éoliennes qui sont plutôt répandues dans le Sud le reste des installations de production d’énergies alternatives sont concentrée ou mieux représentées dans le centre- nord de l’Italie, notamment la diffusion des installations utilisant la biomasse et le biogaz, l’utilisation de réseau de chaleur est plus notable au centre-nord de l’Italie.

Pour en savoir plus:

Constat et comparaison de la situation en Europe

Rencontres Internationales du Développement Durable

Le 30 novembre 2009 à Paris UBIFRANCE( Service énergie - environnement - chimie) organise un sommet "ecologique" qui s'adresse aux éco-entreprises.
Le participants des secteurs environnement, énergies renouvelables, développement urbain durable y trouveront des opportunités de coopérations internationales au niveau des projets et auront la possibilité de rencontrer des responsables environnement du réseau UBIFRANCE et lesmissions économiques d'une vingtaine de pays
Rencontres Internationales du Développement Durable
30 novembre 2009 - France, Paris

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Ouverture des inscriptions 15 octobre 2009.

Pour inscription et informations:

Michael Ehrilch

+33 (0) 1 40 73 34 71

77 Boulevard Saint Jacques

75998 Cedex 14 Paris



ID:

UBIFRANCE, l’Agence française pour le développement international des entreprises, est un établissement public industriel et commercial placé sous la tutelle du Ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, du Secrétaire d'Etat chargé du Commerce extérieur, et de la Direction Générale du Trésor et de la Politique Economique.



Source: www.ubifrance.fr

Projets de Coopération entre France et Italie

Les principales conventions régionales en Europe qui intègrent des aspects environnementaux et pour lesquelles la France et l’Italie collaborent :

La Convention Alpine

La Convention Alpine, signée en 1991, lie les huit pays de l’arc alpin (Allemagne, Autriche, France, Italie, Liechtenstein, Monaco, Slovénie et Suisse) ainsi que l’Union européenne qui ont décidé de joindre leurs efforts pour un développement équilibré de l’ensemble du massif alpin.

Les enjeux sont à la fois économiques, sociaux et environnementaux, ce qui explique l’éventail des thèmes traités dans ce cadre : agriculture, tourisme, transport, préservation des paysages, risques naturels, etc.

En France, le réseau des espaces protégés est déjà très dense. Ils contribuent à l’économie de la montagne. Mais la coopération transfrontalière constitue un élément essentiel aux objectifs de développement durable.

La convention de Barcelone

La convention pour la protection de la Méditerranée contre la pollution, fut signée en 1976 à Barcelone, sous l’égide du Programme Environnement des Nations Unies.

Son objectif est d’assurer une protection particulière aux espèces et aux habitats menacés dont l’importance est jugée vitale pour la conservation de la Méditerranée.

Un protocole relatif aux Aires Spécialement protégées de Méditerranée fut adopté en 1982 par les parties contractantes. Celles-ci doivent prendre "toutes les mesures appropriées en vue de protéger les zones marines importantes pour la sauvegarde des ressources naturelles et des sites naturels de la Méditerranée". Elles doivent également "établir des zones protégées et... s’efforcer d’entreprendre les actions nécessaires afin de protéger ces zones, et si nécessaire, les restaurer aussi rapidement que possible".